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L'Association des Elèves du Secondaire de Ouagadougou (AESO) s'est prononcée ce 27 mai, sur la crise née des réformes scolaires. Ces élèves ont balayé du revers de la main ces réformes entreprises par leur ministre de tutelle. Pour eux, c'est tout simplement des "réformes anti-élèves". Selon le porte-parole de l'AESO, le 23 mars dernier, ses camarades ont rempli une fiche de demande d'audience auprès du cabinet du ministre de l'Education nationale. Des affirmations qui vont à l'encontre de celles du ministre OUARO qui a déclaré le 21 mai dernier sur nos médias WAT-FM et 3TV, n'avoir jamais reçu de demande d'audience de la part de l' AESO. Madi Ouedraogo et les siens estiment que : "si le ministre OUARO est soucieux de notre avenir, il ne doit pas attendre une demande d'audience. Il peut lui-même demander à nous rencontrer pour tenter de résoudre la crise", a indiqué le porte-parole Il soutient également que l'AESO depuis sa création a toujours été reçue par les autorités. "Nous ne comprenons pas l'attitude du ministre qui consiste à dire que nous n'avons pas de récépissé... C'est de la diversion". Quand aux actes de vandalisme au sein du lycée Philippe Zinda Kaboré, ces élèves déclinent toute responsabilité, exigeant ainsi la réouverture dudit lycée, la libération de leurs camarades détenus, le respect des franchises scolaires...
"L'Association des Elèves du Secondaire de Ouagadougou (AESO) rejette en bloc les réformes scolaires. Elle exige la libération sans conditions des élèves détenus, la prise en charge des élèves blessés, la réouverture immédiate du Lycée Philippe Zinda Kaboré... " "Les réformes annoncées par le ministère en charge de l'Education nationale ne sont rien d'autres que des réformes anti-élèves" Madi Ouedraogo, porte-parole de l'AESO
Les étudiants de l'Université Norbert ZONGO ont répondu à l'appel du mot d'ordre de grève de 24h ce 26 mai, de la coalition des structures syndicales, en vue de protester contre les nouvelles mesures des autorités universitaires qu'ils qualifient de coup de force. Tôt ce matin, les protestataires ont pris d'assaut la présidence de l' université pour s'opposer à la suppression des sessions de rattrapages, à la correction des copies par le biais des machines, à l’organisation des examens spéciaux et du rachat à partir de 08/20 de moyenne ainsi qu'à la digitalisation des restaurants universitaires. Pour eux, ces mesures visent à dégrader davantage leurs conditions de vie et d'études déjà agonisant.
Le colonel Assimi Goita, vice-président du Mali, a annoncé ce 25 mai, avoir démis de leurs fonctions le président Bah Ndaw et le Premier ministre Moctar Ouane, arrêtés lundi soir par des membres de l'armée. Le colonel Assimi Goita les accuse d'avoir enfreint la charte de la transition et qu'ils seront poursuivis comme prévu. Il a par ailleurs assuré que les élections auront lieux courant 2022.
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